L'ile perdue [Libre]

Les premières chose que Biehra, passagère du "Traceur des océans" grand navire touristique en destination d'Otomaï vu fut des morceaux de bois, du brouillard une mer agitée et plusieurs cadavres gisant sur le sol sableux. Eh oui, la jeune pandalette était désormais naufragée...
Elle avait du mal à se lever, sa jambe lui faisait très mal. Après l'avoir examinée elle découvrit avec horreur une sorte de gros bout de bois enfoncée dans sa cuisse. La malheureuse se hâta d'arracher un morceau de sa chemise pour en faire un bandage, de faire sortir le bout de bois et de se soigner.

Mais que m'arrive t'il, pourquoi moi ?!

Une fois soignée, Biehra chercha des fournitures de première nécessité dans les débris. Tout ce qu'elle put récupérer c'était une corde, une lampe contenant une énorme bougie et quelques boites de conserve. La pandalette observa le ciel et en déduit qu'il allait bientôt pleuvoir.

Il faut que je me créer un abris... Il faut que je survive à tout prix !

La naufragée se dirigea dans la foret, un couteau rouillé à la main qu'elle avait trouvé dans les débris. A peine entré dans la forêt, elle entendit un bruit dans les buisson. Elle s'approcha en menaçant le buisson avec son couteau puis ouvra la bouche pour parler avec grande peur.

Qu... Qui est là ?! Je... Je... je suis armée ! Sortez de votre cachette !

Messages : 3 Date d'inscription : 26/12/2010

Il n'aurait jamais du accepter cette mission.Il l'avait sentit pourtant mais l'alcool lui avait encore donné de fausses illusions de facilité! Maintenant il était bloqué sur cette maudite ile à tailler des troncs de kokoko pour tenter de s'en faire un radeau et une pagaye.
Il avait vu les débris d'un bateau un peu plus loin sur la plage mais avait préféré se mettre à l'abri de la vue de possibles prédateurs en entrant dans la petite forêt. Il pensait y faire un saut dès que possible pour récupérer des cordages et une voile pas trop abimée.

Il s'arrêta net dans son fastidieux travail nautique en entendant une voix venant de derrière les buissons où il avait choisit de s'abriter. Sans doute était ce un autochtone.....puis comprenant que l'être qui se trouvait désormais toute proche était encore plus apeuré que lui, il pris sa hache dans une main et écarta les buissons avec l'autre. Il vit une belle disciple de la déesse des plaisirs de la vie et de l'alcool qui semblait éreinté par un douloureux voyage.

- Du calme jeune demoiselle! Je ne suis qu'un humble mercenaire!

Messages : 14 Date d'inscription : 26/12/2010

La crâette avait réussi, par elle ne savait quel à réunir toutes ses affaires, qui se résumaient à son sac de voyage et à un énorme baluchon. La pluie menaçait et mieux vallait vite filer d'ici. Marie Zoto, chargée comme une dragodinde battit donc en retraite vers les palmiers, sous les grondements du tonnerre. Le naufrage l'avait terriblement secoué, dans toute sa carrière de voyageuse elle n'avait rien connu de tel. Quelle idée aussi de voyager sur un bateau de tourisme ! On ne pouvait avoir aucune confiance dans les bâteaux de tourismes qui étaient de véritables passoires, se dit Marie. Avant de s'engouffrer dans la végétation, elle jeta un dernier regard désespéré vers la place, recherchant une âme qui vive. Mais elle ne vit personne. Elle se précipita donc dans les taillis à la recherche d'un abris. Son baluchon produisait un infernal grondement de métal.

Alors qu'elle avançait à petits pas, quand elle entendit une voix féminine crier:

- Qu... Qui est là ?! Je... Je... je suis armée ! Sortez de votre cachette !

A la fois soulagée et angoissée elle allait se dépêcher de répondre avant de se faire attaquer mais uen voix d'homme la devança. La voix était inquiétante et comme Marie n'avait pas comprit le sens de la phrase, elle prit peur.

- Hum... Je suis là aussi, jem'appelle Marie Zoto, je suis marchande... je suis aussi rescapée du naufrage ! Qui êtes-vous, vous ? J'ai de quoi manger dans mon sac.

Elle attendit la réponse en tremblant...

Messages : 3 Date d'inscription : 26/12/2010

A présent, il n'avais plus à faire à une mais bien à deux aventurières potentiellement dangereuses! Bien que la dernière arrivée, une disciple de cra, ne l'ai menacé que d'un jambon et d'un pain au blé complet, le feca ne savait que trop bien ce que le désespoir pouvait pousser à faire et il décida de se présenter afin de dissiper tout malentendu.

-Paix! Je me nomme Erino et je suis un mercenaire disciple de la grande et belle déesse Feca! On m'a envoyé ici pour accomplir un contrat visant à nettoyer l'île de pirates qui y sévissent. J'ai embarqué à Sufokia mais l'équipage à semble t-il préféré partir au plus vite dès que j'ai eu mis le pied sur cette satanée île. Depuis je m'acharne à construire une embarcation de fortune pour rejoindre le continent!

Pour prouver ses bonnes intentions, le mercenaire attrapa une noix de kokoko qui tentait de s'échapper subrepticement au couvert des feuillage et la fendit en deux à l'aide de sa hache. Il tendit une moitié à chaque aventurière avant de s'asseoir sur l'un des troncs qu'il taillait juste avant d'être interrompu.

-Goutez! C'est très nourrissant et vous semblez avoir besoin de reprendre des forces. Mais racontez moi plutôt comment vous vous êtes retrouvées sur ce maudit tas de sable!

Gardant à portée sa hache et se préparant mentalement à se protéger en cas de danger, le feca laissa le temps aux jeunes femmes de s'exprimer.

Au dessus des deux aventurières et du mercenaire se froissait les feuilles de Kokoko s'agitant au grès du vent, mais les branches ne supportait pas uniquement le poids des nid d'oiseaux: elles supportaient aussi un jeune sacrieur du nom de Reflex, perché en haut d'un gros Kokoko ( ce n'est pas un perchoir très pratique, mais c'est un perchoir quand même ), il s'affairait à éponger une de ses nombreuses coupures qui saignaient abondamment à l'aide d'un morceaux d'étoffe. Il en avait profité pour laisser trainer une oreille dans la conversation qui se déroulait au dessous de lui, il était lui aussi rescapé du naufrage, ce qui, pour lui, n'était pas si dramatique car il profitait de ce détour pour capturer les quelques âmes de monstres qui se trouvaient la. Il était actuellement occupé sur un grand groupe de pirates bien mieux armés de lui, et pour cause: il avait perdu son épée dans le naufrage, et s'était ces maudits pirates qui la détenait. Il lança :

- Vous ne perdez rien pour attendre ! Profitez de ma belle épée car je vais me voir forcé de la prendre, et votre vie avec !

Il avait terminé sa phrase avec un grand sourire qui dévoilait toute ses grandes dents blanche, il en profita pour sauter de son arbre et atterrir sur un Nakunbra esseulé en lui donnant un grand coup de poing qui eu pour effet de décrocher la tète du reste du corps, il détruit de cette manière 5 autres Nakunbras, 4 Bommba saoulés, et 2 Canon Dorf débutants. Il s'en tira avec pas mal de coupures, et des équinoxes superficielles. Il récupéra sa précieuse lame et commença à nettoyer ses plaies et à réviser sa précieuse épée.

Messages : 14 Date d'inscription : 26/12/2010

Il commençait à regner une agitation certaine dans les buissons. Marie Zoto se sentait rassurée et elle prit la demi noix de kokoko que lui tendait le mercenaire. Elle s'assit également sur un tronc d'arbre, et commença à boire après avoir posé sa nourriture au milieu. Quand elle eut fini elle s'adressa au Féca:

- Vous êtes mercenaire ? Vous m'intéressez ! J'ai l'habitude de m'entourer d'un mercenaire durant mes voyages, pour ma sécurité personnelle. Si nous n'étions pas dans une situation si délicate, je crois que je vous engagerez bien.

Elle reprit son souffle et regarda la jeune Pandalette.

- Moi j'avais pris ce bâteau de tourisme afin de me rendre à Otomaï où je devais vendre mon stock de magnifiques théière d'occasion. D'habitude je prend des bâteaux de commerces avec des VRAIS marins, mais là je suis partie dans la précipitation et je n'ai pas eu trop de choix hélas... Pfff un naufrage il ne manquait plus que ça, heureusement que j'ai de quoi manger. Je suis sûre que nous sommes sur l'île des Naufragés puisque nous sommes naufragés !

Pour prouver ce qu'elle disait, elle ouvrit son baluchon et montra le gros tas de théière aux couleurs vives qui le remplissait. Mais elle tendit l'oreille car elle entendit des bruits de bataille non loin...

Je me réveillais petit à petit. Je me souvenais seulement du bateau, de l'orage, et de moi partant en courant dans ma cabine pour dormir, au bord des larmes et sur le point de crier de frayeur , ma kéraunophobie ne s'améliorant pas. Je levai la tête la secouant pour faire partir le sable qui s'y était collé. Mais où étais-je donc? Je regardais autour de moi il y avait des morceaux de bois partout et quelques corps. Nous avions fais naufrage. Je me souvins alors de ma mission, tué Hares Tation, il avait tué un commandant brakmarien. N'ayant aucune mission à faire pour le moment, on m'avait chargé de cette besogne. Il m'avait fallu deux semaines pour le retrouver, il était sur ce bateau. Je me levai, et me mis à le chercher parmi les décombres et les corps en tenant bien serrer dans mes mains ma dague car je ne trouvais plus mon arc. Je le vis allonger deux mètres plus loin un morceau de métal figé entre les deux yeux.

"Comment assassiner quelqu'un déjà mort?" Me dis-je pour moi même en essayant de me rappeler dans quel livre j'avais lu cette phrase, mais sans succès.

"Qu... Qui est là ?! Je... Je... je suis armée ! Sortez de votre cachette !"

Je crus d'abord que c'étais à moi que l'on s'adressait et pensai devoir tuer un innocent pour ne pas être repéré, mais deux voix répondant je me dis que l'on ne m'avait pas entendu Je me dirigeai vers les voix tenant plus fermement que jamais ma dague et découvrant les trois auteurs de cet échange.

"Qui va là?" Dis-je encore troublé par l'orage.

La jeune pandalette eu envie d'expliquer la raison de son voyage à bord du bateau.

Moi, j'ai pris ce bateau car la famakna food m'a envoyée en mission sur Otomaï. Je suis censée répertorier et ramener des échantillons de toutes les spécialités culinaires de l'ile.

Biehra écoutait attentivement ses nouveaux amis naufragés en mangeant quand elle entendit une voix derrière elle. La pandalette lâcha directement sa nourriture, saisit son couteau à toute vitesse et sauta dans le buisson en plaquant au sol l'innocent qui avait parlé.

Qui êtes-vous ?!

Je n'eus pour simple réponse qu'une Pandalette me sautant dessus.

"Qui êtes-vous ?!
-Ça vous dérangerait d'ôter ce couteau de ma vue? Je me sentirais moins menacé.... "

La jeune femme ne me lâcha pas pour autant et continua à me fixer. Je la regardai avec plus d'attention et lâchai sans pouvoir me retenir.

T'as de beaux yeux tu sais.

Je plaquai ma main sur ma bouche mais trop tard. Je m'attendais à recevoir une baffe. J'avais travaillé à ne pas laisser paraître mes émotions mais je n'avais jamais réussi à ne pas rougir et c'est ce qui se passa je sentis mes joues s'empourprer. je n'eus comme solutions que de la regarder fixement comme si c'était la chaleur qui provoquait ce rougissement.

Biehra fut à la fois troublée, énervée et gênée par ces mots.
Elle fixa à son tour le jeune inconnu qu'elle avait plaqué à terre puis, en le voyant rougir éclata de rire.

Tu sais parler aux femmes toi dit-donc !
T'as de la chance que je soit charmée par tes muscles, sinon tu te serais pris une bonne grosse baffe comme je les aiment !

La pandalette lui tendit sa main puis l'aida à se relever. Elle rangea son couteau dans sa ceinture, repris sa moitié de nodkoko puis lui en donna un morceau.
La jeune femme l'emmena par la main avec célérité vers ses autres compagnons naufragés. Elle se remémora les paroles du jeune homme puis fit paraitre un petit sourire.

Messages : 14 Date d'inscription : 26/12/2010

Marie Zoto observa les hommes qui les avaient rejoint avec curiosité. Tous semblaient bien armés et heureusement, pleins de bonnes intentions. Un peu rassurée, elle alluma le feu et entreprit de se faire rôtir un morceau de jambon. La pluie n'avait heureusement toujours pas commencé à tomber.

- Nous avons de la chance d'avoir atterri ici ! Vous imaginez, on aurait pu se retrouver sur l'île du terrible Minotoror !

A cette idée, la jeune crâette frissonna. Peut-être pourrait-elel se construire un abris avec les débris du bâteau...

- Hum par contre je n'ai pas l'intention de faire ma vie ici... il faut absolument trouver un moyen de quitter l'île... est-ce que vous savez si des bâteaux passent souvent ? On pourrait allumer des feux pour faire de la fumer et signaler notre position ?

Biehra regarda autour d'elle et en déduit qu'avec la disposition des arbres, il serrait possible de monter un abris.
Elle sortit quelques cordages qu'elle avait trouvé dans les débris sur la plage, prit quelques branches qui trainait puis les attacha ensemble pour confectionner une sorte de toit en bois.

Mes amis, il nous faut couvrir le toit. Des feuilles de kokoko devraient faire l'affaire.

Aussitôt tous les naufragés se mirent à grimper aux arbres pour en arracher leurs feuilles.
Biehra et Marie fixait les feuilles sur la construction de bois à l'aide de la sève collante des arbres de l'ile.
Après plus d'une heure de travail acharné, les aventuriers purent se reposer sous leur abris.

La jeune femme éclata de rire en me voyant rougir puis me dit.

"Tu sais parler aux femmes toi dis-donc ! T'as de la chance que je sois charmée par tes muscles, sinon tu te serais pris une bonne grosse baffe comme je les aime !"

Je regardai l'inconnu avec étonnement et soulagement.* Je ne finirai pas égorgé par une Pandalette parano qui saute sur tout ce qui bouge. Et puis quoi mes muscles, elle a jamais vu de soldats? Bon en même temps je suis pas sensé leur dire que je suis un soldat.* pensai-je. Elle m'aida à me relever et me tendit une part de sa nodkoko. Puis me tira rapidement vers les autres aventuriers. Une disciple de Crâ qui faisait parti des naufragés prit la parole imaginant se qui serrait arrivé si nous avions atterri sur l'île de je ne sais plus quel monstre. Puis elle exprima son envie de partir et demanda si quelqu'un savait si des bateaux passaient par là. J'avais étudié de fond en comble les horaires des bateaux qui se rendaient à Otomaï pour savoir quand ma cible pourrait s'en aller mais leur dire que les prochaines navettes touristiques partiraient dans trois et cinq jours à six heure paraitrait louche. Sous les ordres de la Pandalette nous fabriquâmes une cabane. Je m'allongeai dans l'abri de fortune exténué par cette journée. Et avant de m'endormir je leur dis.

"Il faudra penser à cramer tout les cadavres je veux pas mourir d'une maladie quelconque. Ah au fait, je m'appelle Tann."

Tann c'est pas mon vrai prénom, c'est juste une couverture

Après avoir bien astiqué sa précieuse épée, Reflex décida d'en savoir plus sur les naufragés, le fait que quelques Kokokos aient été abattus lui indiqua qu'il étaient en train de lever un campement, mais il ne souhaitait pas arriver les mains vides, le problème est qu'il n'est pas facile de trouver de la nourriture sur une île peuplée de squelettes desséchés , de coffres et.... c'est tout, mais les arbres lui suffirait.
Après avoir coupé une demi-douzaine de noix de Kokoko, il retourna vers le camp des naufragés ,il avait profité du temps passé à astiquer sa lame, à ranger sa pierre d'âme, et à cueillir les noix pour polir le dialogue d'introduction quand il arriverait:

Euh..... bonsoir, si vous voulez, je pourrait vous aider à réparer le bateaux, je suis bricoleur/inventeur.

Il n'était pas très satisfait du résultat mais il avait réussi à ne pas bredouiller au moins !

Messages : 14 Date d'inscription : 26/12/2010

Tiens, encore un arrivant. Finalement il y avait plus de survivants que prévu, constata Marie. Le nouveau venu paraissait un peu mal à l'aise, elle lui répondiment avec un sourire d'encouragement.

- Salut, bienvenue à toi, je pense que tu ne sera pas de trop pour nous aider. Au fait je m'appelle Marie Zoto. Je ne sais pas trop quand est-ce qu'on pourra se mettre au travail, pour le moment il fallait surtout un abris à cause de l'orage qui se prépare.

Après ses paroles bienveillante, elle observa de nouveau tous ses compagnons d'infortune. Elle se demanda ce que faisais un bricoleur sur un bâteau de croisière... Mais après tout, elle aurait tout le temps de l'apprendre.

[Marie, nous avons déjà un abris.]

Bien le bonjour nouvel aventurier ! A mon avis, le bateau n'est pas réparable. Je m'appelle Biehra.

Biehra prit son couteau ainsi que son petit sac de survie puis s'en alla dans la forêt à la recherche d'éventuelle ressources. Elle cherchait surtout de l'eau. Les oiseaux chantaient, la pandalette se disait que ces bêtes pourrait constituer un bon repas. Biehra arriva devant une grotte, on y entendait des gouttes d'eau, elle décida d'y entrer jeter un coup d'oeuil. Les parois devenait de plus en plus étroit, le sol glissait de plus en plus et le bruit s'amplifiait. La pandalette continua son chemin malgré le danger mais ce ne fut pas le bon choix. Elle glissa sur le sol mouillé et glissa en bas de la grotte.

Spoiler:

Messages : 21 Date d'inscription : 23/12/2010

Le membre 'Biehra' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'Fortune' : 5

- Salut, bienvenue à toi, je pense que tu ne sera pas de trop pour nous aider. Au fait je m'appelle Marie Zoto. Je ne sais pas trop quand est-ce qu'on pourra se mettre au travail, pour le moment il fallait surtout un abris à cause de l'orage qui se prépare.

Bien le bonjour nouvel aventurier ! A mon avis, le bateau n'est pas réparable. Je m'appelle Biehra.

Reflex se trouvait assez embarrassé d'obtenir plusieurs réponses à la fois, mais il était aussi assez content, il était en train d'élaborer une tactique pour répondre en même temps à Melle Zoto et à Biehra quand cette dernière s'en alla à la recherche de provisions, il se résolu donc à remercier Melle Zoto et s'en alla voir le bateaux pour voir si il n'arriverait pas à bout du problème. Il déposa donc les noix de kokoko et parti, quand il arriva aux bateaux, il découvrit alors toute l'ampleur du problème

Spoiler:

Messages : 21 Date d'inscription : 23/12/2010

Le membre 'Reflexario' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'Fortune' : 6

Biehra glissa sur le sol mouillé et se retrouva au fond de la grotte, elle était complétement trempée à cause de l'humidité du sol. La pandalette se releva toute étourdie, elle voyait la lumière de l'entrée de la grotte mais ne pouvait point remonter car la pente était très raide et surtout très glissante.

Mais que vais-je faire ?!

Se demanda t'elle en paniquant. Elle se calma puis chercha autour d'elle quelque chose qui pourrais servir de grappin. Elle trouva près d'un gros rocher un squelette, elle fouilla le sac du malheureux et y trouva une faucille tordue. Biehra sortit une corde de son sac de survie puis l'accrocha solidement à la faucille tordue. Avec toute la force qu'elle avait, Biehra lança le grappin improvisé mais celui-ci ne s'accrocha pas. Malgré plusieurs tentative elle ne parvint pas à remonter. La pandalette s'assit en espérant que ses amis la retrouve.

Safou se baladait tranquillement quand il entendit des bruits parvenant d'une grotte. En s'approchant du bord il aperçut une pandalette coincé au fond.
Sans un mot, il sourit en direction le la dame et lui lança son fouet en l'ayant d'abord accroché a un arbre tout près.

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